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Gotham no man's land :: Corbeille
Casiers vierges ou presque... [Citoyens Prédéfinis]
Oswald Cobblepot
The Penguin ☂
Oswald Cobblepot
Double-comptes : Grésillante.
Messages : 42
Mar 7 Juin - 15:49




Citoyens qui ne sont pas inquiétés par la police de Gotham ; purs de toute activité frauduleuse ou juste inatteignables par nos fonctionnaires de la loi.

Personnages libres : 11/11

   → Batverse : 4/4


  • Alfred Pennyworth → Libre
  • Lucius Fox → Libre
  • Barbara Gordon → Libre
  • Aubrey James → Libre


   → Nouveaux personnages : 7/7


  • Evynne Hopkins → Libre
  • Karn Stormwell → Libre
  • Allen Hooper → Libre
  • Mathis Abberline → Libre
  • Kenneth MacLeod → Libre
  • Hayden Brett → Libre
  • Henry Spleens → Libre


Tous les avatars de personnages sont des propositions et non des obligations.



Oswald Cobblepot
The Penguin ☂
Oswald Cobblepot
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Jeu 9 Juin - 20:26

Alfred Pennyworth

Homme dévoué.

Histoire :
Alfred Pennyworth est le majordome de la famille Wayne mais également le tuteur de Bruce Wayne depuis la mort de ses parents. C’est un homme qui a travaillé pour les services secrets et qui en tire un attrait particulier pour l’ordre et de lourdes compétences en combat.

Après la mort des parents du jeune Bruce, Alfred reprit sa garde. Il tenta de préserver l’intégrité physique et mentale du garçon. La tâche d’élever un enfant traumatisé comme Bruce fut rude, mais grâce à son flegme tout britannique, à son esprit raisonné et à sa patience Alfred parvint à occuper une place primordiale dans la vie de Bruce.

Le majordome se confronta aux nouvelles lubies de son jeune maître qui souhaitait trouver seul le meurtrier de ses parents et affronter ses pairs en réalisant des actes d’une grande dangerosité. Ils parvinrent à consolider leurs liens malgré des dialogues compliqués et Alfred se trouva être un grand allié dans la quête de Bruce.

Il apprit au garçon à se battre, à l’épée dans un premier temps puis en combat rapproché.

Alfred prouva à maintes reprises qu’il était prêt à tout pour protéger Bruce Wayne et mit plusieurs fois sa vie en danger pour lui venir en aide. Il le soutint dans toutes ses décisions et l’aida à s’intéresser aux affaires des entreprises Wayne malgré la dangerosité de l’affaire.

Alfred est le seul en qui Batman place sa totale confiance, le seul qui partage avec le justicier masqué le niveau d’accréditation maximum servant à déverrouiller les informations du Bat-ordinateur. Pourtant Alfred était au courant des activités mafieuses de Thomas Wayne et il veilla longtemps sur ce secret.

Bruce découvrit au sein du manoir familial un passage menant à une grotte secrète. Il semblerait que cet endroit fut préalablement aménagé par Thomas Wayne. Voyant que son jeune maître s’investissait beaucoup trop dans une affaire bien trop dangereuse pour lui, Alfred refusa initialement d'aider Bruce à se lancer dans la récupération des données en sommeil dans les vieux ordinateurs. Après une discussion, Alfred accepta pourtant de l’aider et appela la seule personne qu’il voyait capable de réparer cet engin ; Lucius Fox.


Bruce Wayne : protégé.
 
Jim Gordon : allié qu'il estime.
Oswald Cobblepot
The Penguin ☂
Oswald Cobblepot
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Jeu 9 Juin - 20:33

Lucius Fox

The Architect.

Histoire :
►XXX

Bruce Wayne : Ami et employeur.
 
Alfred Pennyworth : Ami.
Oswald Cobblepot
The Penguin ☂
Oswald Cobblepot
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Jeu 9 Juin - 20:34

Barbara Gordon

Watching over.

Histoire

 XXX

XXX

XXX

James Gordon : Père.
Oswald Cobblepot
The Penguin ☂
Oswald Cobblepot
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Messages : 42
Jeu 9 Juin - 20:34

Aubrey James


Véreux mais heureux.

Histoire :
Le maire James Aubrey est connu pour être un maire assez peu bienveillant envers les réformes. Il a toujours pris la ville comme elle venait, avec ses défauts et ses qualités et il sut en profiter. Ce qui fait qu’aujourd’hui il est considéré comme un politique trempant dans d’innombrables affaires frauduleuses.

Quand l’affaire Wayne retentit, le maire fit tout pour étouffer l’affaire et rassurer la population en pressant la police de résoudre l’affaire, laissant même de fausses preuves être utilisées pour accuser un homme innocent. Il tenta également de vider les rues des enfants vagabonds la peuplant pour redorer un peu l’image de cette ville bien terne au point de ne pas vérifier où il envoyait ces jeunes gens, ce qui finit en une affaire de kidnapping d’enfants par des usurpateurs déjouée juste à temps par Jim Gordon.

Après un enlèvement, le maire se mit sous l’autorité de Carmine Falcone, ne pouvant rester neutre dans la guerre opposant Don Maroni et Falcone. Dans ces temps de crise il permit également la réouverture d’Arkham pour y enfermer les criminels jugés psychologiquement instables.

Dans l’instant présent les élections ayant été reportées, James Aubrey se représenta pour se faire élire. D’ici deux mois les élections seront lancées. Ce sera une dure bataille, car peu de gens en font leurs favoris pour la course au vote, il a un adversaire de taille cette année, en la personne de Kenneth McLeod.

Kenneth McLeod : Adversaire très sérieux pour les élections à venir.
 
Jim Gordon : Policier avec qui il est souvent en désaccord.
Edward Nygma
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Edward Nygma
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Mar 19 Juil - 4:22

Hopkins Evynne
Feat. Felicia Day (négociable)

Histoire :
Evynne, surnomée Evy pour les intimes, est une jeune femme pleine de vie et d'initiative. Bercée depuis l'enfance dans les contes de fée et les fables par sa mère, Evy a fondé une tour d'ivoire protectrice au cœur de son jardin des merveilles. Une réalité fantasmée qui la protège. Sa vie n'a effectivement pas été simple : un père trop tôt décédé, une mère malade de longue date qui ne reçoit pas de soins adéquats faute de moyens financiers. Malgré cela, la jeune femme arbore toujours un sourire lumineux. Est-ce qu'elle souffre ? Oui. Mais, selon elle, moins que sa mère qu'elle ne veut pas accabler davantage. L'aider est sa priorité absolue. Pugnace Evy est de celles qui regardent la difficulté en face sans en démordre, tout en savourant chaque infime moment de bonheur arraché. La jeune femme est passionnée et créative - elle s'offre à corps perdu à ses mondes imaginaires qui la bercent encore aujourd'hui la nuit. Ses rêves sont les seuls moment où elle peut se permettre de penser à elle-même. Les jeux-vidéos sont un également un exutoire.
Face aux difficultés économiques de sa famille liées à la maladie qui affecte désormais trop sa mère pour lui permettre de travailler, Evy a décidé d'arrêter ses études (bien qu'elle préfère le terme "suspendre" sans vraiment y croire, pour ne pas donner l'impression d'un sacrifice). Elle travaille ci et là, sans parvenir à trouver quelque chose de décent. Sa passion de l'informatique est un atout - elle y excelle d'ailleurs en autodidacte. Son curriculum vitae officieux est tapissé de quelques actes de hacking qui pourraient la mettre en pénible situation si on remontait jusqu'à elle. Trop audacieuse et un peu trop talentueuse, elle pourrait jouer avec le feu de trop près.
Evy est une femme franche, affirmée et avec des idéaux chevillés au cœur. Elle ne mâche pas ses mots et défend certains sujets avec grande vigueur. La cause de l'égalité hommes/femmes est d'ailleurs un de ces sujets sur lesquels elle ne transige pas. C'est encore une relation jeune qui l'unit à Deliah mais c'est également un bouclier contre ses moments les plus sombres. Les deux femmes se sont rencontrées durant une conférence il y a quelques mois, un pur hasard. Deliah lui permet d'être  elle-même, grande première, de poser pour quelques instants le costume du devoir. La policière est forte tout comme elle, n'a pas eu une vie rose tout comme elle. Elles peuvent se comprendre et s'affranchir ensemble de leurs barrières. Même si le chemin n'est pas simple.

Edward Nygma
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Edward Nygma
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Mar 19 Juil - 4:23

Karn Stormwell
Feat Luna Lovegood. (négociable)

La douce cartomancienne..

Histoire :
Karn est une aspirante diseuse de bonne aventure et cartomancienne à l’interstice des ruelles sombres. Enfant élevée par la rue la demoiselle apprit à subsister avec peu. Elle est pour autant restée une douce rêveuse, une bonne âme qui invective les gens sur son chemin lorsqu’elle ressent un sombre présage au-dessus de leurs têtes – en oubliant souvent de réclamer une pièce. La jeune fille est loufoque, elle peut durant des heures expliquer à qui veut bien l’entendre la mythologie façonnée par son esprit. Karn croit dur comme fer au surnaturel mais selon sa définition toute personnelle du terme et selon des rituels enfantins inventés par ses soins, répondant à sa seule logique. Elle puise souvent dans la mythologie Nordique dont elle a eu très jeune un vague écho, ses parents étant Norvégiens d’origine. Pour autant elle n’impose ses croyances à personne et est toujours curieuse d’apprendre des autres – elle qui n’a jamais été scolarisée et qui ne sait ni lire ni écrire. Elle n’a pas beaucoup d’amis dans la rue, relativement exclue. Depuis un certain temps elle arpente pourtant les pavés grisâtres de Gotham accompagnée d’une bande de jeunes gens de son âge. D’un commun accord ces derniers bricolent des numéros sensationnalistes afin de braquer l’attention des passants sur la divination incohérente de leur amie. Jeux de lumière chancelants, tentatives multiples et variées pour effrayer, l’idée peu dissimulée est de parvenir à détrousser quelques infortunés.
Au détour d'une soirée quelconque Karn fit la connaissance d'Allen qui semblait particulièrement hagard, perdu. Elle entreprit de lui parler en lançant la discussion sur un sujet totalement décalé - comme ça, au hasard. Elle n'aurait pas eu le cœur à le laisser - elle ne savait que trop bien ce qu'était la solitude face à la terreur, or il semblait terrifié. La soirée était délicate pour le jeune homme confronté aux répercussions de son attirance envers l'abyme de Gotham, à la lisière d'amorcer une décente vers les enfers de la ville. Étrangement les mots si étranges de cette fille si étrange désamorcèrent son implosion. Depuis ils se voient régulièrement afin d'apaiser leurs solitudes.

Edward Nygma
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Mar 19 Juil - 4:23

Allen Hooper
Feat Peter Parker. (négociable)

Le garçon doré..

Histoire :
Allen Hooper était un étudiant promis, sur le papier, à un éclatant avenir. Issu d’une famille possédant l'une des seules usines métallurgiques de Gotham, son enfance s’écoula à l’abris du besoin matériel. La pression parentale quant à son devenir s’exerça pour autant très tôt : hors de question d’envisager un fils Hooper loin du succès. Allen n’était pas foncièrement de nature ambitieuse alors il suivit sans conviction le sentier pavé par les exigences de ses parents – y gagnant une certaine suffisance vis-à-vis des autres. Sa famille présentait cérémonieusement ses lettres de noblesse devant le tout Gotham, ainsi cette vérité mondaine lui monta à la tête. D’autant plus qu’il vivait en vase clos face à l’interdiction de sortir ou de trop côtoyer d’autres personnes. L’amour était prémédité, ritualisé, froid et sans consistance au cœur de sa famille. Il revenait uniquement de préserver l’image médiatisée d’une petite famille parfaite et soudée.
Allen était un élève brillant et assidu puisque c’est ce que l’on attendait de lui. Tout autant qu’il fut un garçon prétentieux et distant puisque personne n’attendait de lui qu’il soit un être social. Cela ne dura pourtant qu’un temps. Les choses ne se superposaient pas assez bien à son goût. Tout était trop factice, trop loin de lui. La fin d’adolescence lui laissa un goût de cendres en bouche à force de ne profiter de rien, piégé dans sa bulle dorée et bien-pensante. Pourquoi lui interdire de sortir à ce point ? La rébellion courrait sous sa peau, violente et enfiévrée. La gâchette fut actionnée un soir alors qu’il regardait la télévision seul dans sa chambre. Il vit la délivrance, la folie débridée, les Maniax. Un éclat de rire le traversa malgré lui. A partir de là il s’intéressa beaucoup trop à la folie sinueuse qui alimente Gotham. En détournant la vigilance parentale il s’évada de plus en plus le soir, souvent pour rejoindre d’autres sympathisants aux Maniax en boîte de nuit.
Le revers de son insubordination l’attendait au tournant. Une nuit alors qu’il rentrait par la fenêtre, éméché, son père l’attendait dans sa chambre. Allen ne voudra jamais parler de ce qui s’est passé, au matin il arborait un visage tuméfié adjoint à un regard vide d’expression. Ne pouvant pas traiter l’information il s’extirpa violemment de sa cage pour rejoindre la rue. C’est ce soir-là qu’il fit la rencontre d’une bouffée d’air frais : Karn. Depuis il ne peut plus s’empêcher de vouloir la revoir même si tout les oppose.

Edward Nygma
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Mar 19 Juil - 4:26

Mathis Abberline
Feat Will Graham. (négociable)

Le porteur de peaux.

Histoire :
Mathis est un artiste méconnu. Un peintre au réel déstructuré. Son imagerie traverse un prisme onirique et déformant, tout en se mêlant à un arrière-fond figuratif. Il y a quelque chose d’instinctif dans son œuvre – comme un message qui se fait comprendre de l’émotion et pas de la raison.
Mathis est un homme cloisonné derrière d’épais murs protecteurs. Hypersensible, le monde est un tumulte corrosif dissolvant ses défenses. Son empathie peut lui faire perdre le fil de son existence à la croisée d’émotions extérieures venant le dissocier de lui-même – il doit constamment s’en prémunir pour ne pas diluer celui qu’il est dans ce qu’il reçoit des autres. Un équilibre précaire dont il prend conscience avec amertume. Les sentiments, à fortiori les plus incandescents, laissent une trace indélébile et l’indifférence n’est pas un luxe à sa portée. Les mots sont des armes dont il connaît trop intimement le sens pour parvenir à en user immodérément, aussi il parle peu et soupèse chacune de ses interventions. Il ne s’impose pas un parler calibré vers le beau et éprouve une certaine méfiance à l’égard de ceux qui enrobent leurs paroles dans la soie. La dissimulation peut être dangereuse. La manipulation le révulse.
Mathis est un homme usé par ses expérimentations assourdissantes, quotidiennes, du social. Il ne trouve pas la paix en compagnie d’autres humains. Il ne se reconnaît pas dans l’organisation polie, codifiée, calculée et hiérarchisée du monde. Tout cela lui paraît insensé – aussi il vit seul, à la marge de cet agglomérat bouillonnant d’insécurités. Il peut s’avérer mordant pour couper court à une conversation non désirée – une conversation qui pourrait trop lui coûter. Il fuit autant que possible les contacts directs.
Mathis souhaita endormir la cacophonie qui l’envahissait en permanence. Il voulait trouver de quoi s’anesthésier –  l’alcool fut une malheureuse solution.
Il passa par une période sombre alimentée par une mémoire défectueuse. L’art l’en extirpa lorsque finalement le succès vint frapper à sa porte par l’intermédiaire d’une figure connue de la ville qui fit la promotion de son talent. Il gagna assez pour pouvoir s’éloigner du centre-ville de Gotham et loger dans un endroit plus calme, se trouver davantage seul avec ses pensées. Il fait aujourd’hui les frais d’une célébrité très relative et concilie relativement avec en ne sortant que très peu.

Anton Schott : Mécène. Méfiance.
 
Allister Drake : Mathis pourrait être une cible.
Edward Nygma
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Edward Nygma
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Mar 19 Juil - 4:27

Kenneth Macleod
Feat Crowley. (négociable)

It's showtime.

Histoire :
Kenneth est issu d’une famille écossaise ayant émigré aux Usa à la recherche d’un avenir meilleur. Son père était un modeste tailleur, relativement absent, tandis que sa mère exerça une ferme prise sur son éducation. Cette dernière n’eut pas la vie facile aussi elle décida d’ériger un mur entre elle et le sentimentalisme – ce qui se traduisit dans l’éducation de son garçon dont la naissance ne fut, d’ailleurs, pas désirée. Très tournée vers le désir d’élévation sociale, sa mère vécu paradoxalement une vie par procuration au travers du prisme de Kenneth qu’elle voulait voir culminer en haut de l’affiche – compensation face à l’insatisfaction chevillée à son propre destin. Kenneth entretient encore aujourd’hui une relation houleuse avec cette mère autoritaire, bien que sa réussite actuelle résulte en partie d’une volonté de convenir à ses attentes.
Kenneth est un homme qui a pourtant pris sa complète indépendance depuis longtemps. Il est une figure connue de Gotham qui séduit certains et qui en révulse d’autres. Politicien irrévérencieux, l’homme a fait du scandale contrôlé sa marque de fabrique. Bon orateur, il alterne avec brio entre charme et grossièreté afin de s’offrir régulièrement la tête d’affiche. Tapageur et sulfureux, il sait pourtant se draper de respectabilité afin de toucher un large horizon de sympathisants – il se proclame franc et répudie la langue de bois. En réalité il est un excellent businessman qui garde un œil acéré sur la ville jusque dans ces cercles les plus souterrains grâce à un bon réseau d’interconnaissances. Ambitieux, il a récemment confirmé sa candidature à la mairie de Gotham et rencontre une opinion plutôt favorable. Malgré ses frasques, son sérieux maquillé d’humour représente un vent de fraîcheur pour une ville ébranlée par la violence. Ne nous leurrons pas, Kenneth a plus d’une carte dans sa manche. Aussi il n’est pas étranger aux mises en scène qui peuvent tourner à son avantage – un braquage peut s’organiser s’il y a quelque chose à en tirer. S’il peut donner aux citoyens l’illusion d’une réponse ferme et juste à la criminalité. Foncièrement, il aime cette ville tout en sachant faire le mal pour son propre bien. D’ailleurs, le mal il le fait très bien.

Edward Nygma
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Mar 19 Juil - 4:29

Hayden Brett
Feat David Tennant. (négociable)

Celui qui voulait être un sauveur.

Histoire :
Hayden est un homme particulièrement ingénieux et polyvalent– aptitudes qui lui taillent une place de choix dans la ville ainsi que dans la vie de nombreuses personnes auprès desquelles il intervient. Bienveillant à l’égard des âmes esseulées, ses méthodes sortent pourtant de la légalité et ne répondent qu’à son échelle de valeurs personnelle. Autrefois étudiant en médecine, brillant, il ne poursuivit pour autant pas son cursus jusqu’à l’obtention du diplôme, en bon électron libre qu’il est. Du moins, il raconte – sous fond d’un sourire enthousiaste - avoir été trop intenable pour la scolarité. C’est en réalité un traumatisme qui le poussa au repli, à la fuite loin du quotidien trop chargé en souvenirs, durant quelques années.
Il officie aujourd’hui en tant que médecin clandestin et sa clientèle recouvre un large panel d’intéressés, du plus illustre inconnu en mal de moyens aux membres de la Pègre blessés lors d’opérations sensibles et ne pouvant se permettre de rejoindre un hôpital conventionnel. Ses contacts avec le milieu du banditisme s’étoffèrent avec le temps, confiance gagnée puisque les lèvres d’Hayden restent irrémédiablement scellées dans le secret médical officieux. Ces relations douteuses n’ébranlent pas sa morale – ce qui l’intéresse avant tout c’est d’apporter des soins indépendamment du statut de la personne concernée. Il côtoie une vision très peu manichéenne du monde.  Pour autant la mafia dirigée par Adrian Callaghan est celle qui fédère aujourd’hui ses activités et la plupart de ses actes médicaux se déroulent sous sa juridiction. Dans cette ville personne ne reste éternellement, ou totalement, non affilié et cela Hayden s’en accommode relativement puisque cela lui accorde en retour une certaine légitimité d’exercice. Cependant il lui arrive encore de répondre présent en dehors de ce cercle délimité. Si Brett est tant versé dans l’aide à la personne ce n’est pas uniquement par altruisme – il tente, très consciemment, de se racheter. De dissoudre une culpabilité qui s’insinue trop souvent dans ses pensées. L’histoire remonte pourtant à son adolescence. C’est une histoire d’inaction qu’il associerait avec mordant à de la lâcheté. Le père de son ami d’enfance, gérant d’une supérette, s’est trouvé menacé d’une arme devant ses yeux. L’homme fut abattu lorsque la situation dégénéra – situation qui se joua en marge de lui-même, lui qui demeura cimenté sur place par une peur dévorante. Il est souvent visité par le cauchemar de la chute du corps désarticulé, dépossédé de sa vie des suites de son inaction.
L’ami d’enfance en question, Henry Spleens, intégra la Milice peu de temps après. Il en revint perdu et esseulé, débordant d’une fureur désespérée. Henry était durant tout ce temps sa plus grande frayeur : comment lui faire face après ce qu’il avait fait à sa famille ? Cependant, confronté à la perdition de l’autre homme Hayden estime qu’il doit intervenir avant que son ami ne se perde totalement. Avant que le point de non-retour ne soit dépassé. La tâche sera ardue, Henry est devenu sanguinaire et instable.

Henry Spleens : Ami d'enfance.
Edward Nygma
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Edward Nygma
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Mar 19 Juil - 4:30

Henry Spleens
Feat John Simm. (négociable)

L'appel à la guerre.

Histoire :
Henry est un homme brisé par la violence. Plus jeune il n’aspirait qu’à un avenir simple. Le goût du quotidien lui était apaisant bien que la réussite scolaire prodigieuse de son ami, Hayden Brett, provoquait en lui une occasionnelle jalousie. Rien de dévorant, à peine plus qu’une piqûre aussi vive que succincte. Cettz pointe d’amertume s’intensifia avec le temps. A ses yeux, eux deux ne semblaient parfois plus partager le même monde. Ce qui était difficile à occulter, Henry n’ayant pas réellement d’autres amis – trop renfermé et assez gauche face au relationnel. Un glas fut sonné pour sa raison lorsque son père, Martin Spleens, fut abattu par un braqueur voulant dérober l’argent de sa supérette. A partir de là, le chaos. Tout ce à quoi il tenait se déconstruisait – son quotidien et ses repères. Il aurait eu besoin d’un soutien amical mais Hayden s’éloigna de lui. Un éloignement viscéral, il n’arrivait plus à obtenir de lui la moindre discussion. Se sentant trahi et au bord de l’implosion Henry conserva une rancœur tenace, dépossédé de la clé pour comprendre : Hayden avait assisté au drame mais, pétrifié de terreur, n’avait pas pu agir. Depuis la culpabilité l’éloignait maladivement.
Henry ne trouvait plus de sens nulle part. Il se sentait distancié de tout et même de son propre corps, de sa propre vie qui lui échappait. Impuissant. Ses notes dégringolèrent et il stoppa ses études. Presque sur un coup de tête, sûrement pour s’en remettre à une institution plus grande que lui et qui pourrait édicter ses actes à sa place, il rejoignit la Milice. Quelques temps plus tard il partit pour un entraînement rigoureux.
Il n’était pas là pour les bonnes raisons et il n’avait pas la stabilité nécessaire pour rester en un seul morceau. Les images d’horreur qui défilèrent devant ses yeux le changèrent, brisèrent son rapport à la morale vacillant. Plus rien n’avait de sens et la chose la plus matérielle qu’il voyait était la violence. Une violence instinctive, mécanique et proche de sa fonction – de ce que l’on attendait de lui. La survie, le sang. Tout bouillonnait alors que son empathie s’étiolait. C’était trop dur alors il commença, dans sa tête, à dépersonnaliser les corps qui tombaient près de lui. Ils n’étaient plus des personnes mais des corps. Henry eut des épisodes de démence dont des quintes de rire fracassées, éraillées face aux scènes les plus sordides. Evidemment, son comportement fut noté et rapidement il fut congédié hors du champ de bataille urbain.
Le retour à la vie civile ne se fit pas par la grande porte, aucun honneur pour celui qui a perdu la tête. Il ne trouva pas d’emploi – bien trop instable. Aujourd’hui il subsiste comme il peut, en errance perpétuelle. L’esprit émietté. Il ne fait plus la différence entre le réel et le cauchemar : les souvenirs du front cognent contre les parois de son crâne et à ces occasions la violence est entêtante. Comme des tambours de guerre, sourds et sans pitié.

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